23:00, Dimanche pluvieux d'octobre

Il était tard le soir, je venais de finir ma thérapie quotidienne, mon psychiatre m'a conseillé de ne plus porter d'armes à cause de mes sauts d'humeur.  J'ai donc décidé de me rendre au McDo pour combler ma faim. Au comptoir, j'ai décidé d'acheter un 5L de Mountain Dew. Une grande envie de vider ma vessie m'empêcha de continuer quoi que ce soit pour me diriger sur le champ aux toilettes. Je me suis ensuite soulagé, puis j'y suis resté pour lire le journal de Montréal. J'ai totalement perdu la notion du temps. Ces toilettes étaient tellement chaleureuses.

Je suis arrivé au McDonald vers 23:10 avec mon garde du corps privé Dimitri Voktchiov que j’ai engagé il y a un an pour sécuriser mes transactions et pour pouvoir repartir avec le beurre et l’argent du beurre mais il était plus utile quand les autres participants aux échanges n'étaient pas honnêtes, chose courante dans le métier. Mes contacts m’avaient également avisé que Fillipé Franco n’était pas totalement honnête dans ses transactions et comme on dit en anglais, better be safe than sorry. La transaction devait se dérouler bien, c’était primordiale à ma confiance donc, si Franco voulait faire partie du marché noir d’échange de drogues, il devait bien se comporter. Bien évidemment, je savais qu’il gagnerait encore plus d’argent si jamais il réussissait à nous voler et c’est pour cette raison que j’ai sollicité l’assistance de Dimitri, un ami en lequel j’avais plus ou moins confiance. On était sûr d’avoir trouvé le meilleur endroit pour faire les échanges parce que le McDonald était en plein centre de Montréal donc des coups de feu sans silencieux seraient entendus. Par la suite quand on fut prêt finalement à installer toutes les mesures de sécurité nécessaires, on a attendu 5 minutes pour finalement voir Filipe arriver.

La caissière mâchant sa gomme de manière à démontrer qu'elle s'emmerdait royalement de travailler dans un Mcdo. Voyant une bande de voyou, elle soupira et se dit que c'était le retour des problèmes avec les gangs qui venaient toujours se rencontrer. Par chance elle avait toujours le cuistot Louis qui était bien musclé et toujours prêt à aller les chasser du restaurant. Elle détestait devoir travailler dans le quartier isolé par le maire.

«Monsieur allez-vous commander? Il est interdit de flâner dans le restaurant.»

La caissière avait prit son courage de demander les intentions des gens sur les lieux.

Marc-André Duval entra dans le McDo. Après une longue consultation avec son médecin, il ne voulut que manger à sa faim et oublier le temps passer. En effet, il venait d'apprendre que, à cause d'un accident de voiture d'il y avait quelques années, sa santé détériorera considérablement dans les prochains temps. Il n'était pas très surpris lorsqu'il apprit cette mauvaise nouvelle en raison de certains symptômes, mais il était tout de même triste. Il passa sa commande au comptoir et attendit impatiemment son repas à sa table. L'étudiant remarqua aussitôt qu'il n'y avait que très peu de gens dans le restaurant. Tout de même, il était 23 heures du soir. Cependant, il remarqua aussi qu'il y s'est retrouvé dans le mauvais restaurant au mauvais moment : à quelques tables de lui se retrouvait "M'Rick", un des vendeurs de stupéfiants les plus redoutés de la ville, un homme de statut quasi légendaire qu'il avait auparavant vu exclusivement en images. Maintenant, il se retrouva dans le même McDo que lui. M.Duval écouta en terreur la discussion qu'il y avait entre le criminel et un homme nommé Filipe. Il savait bien que téléphoner la police ne ferait aucun bien : la loi avait aussi peur que lui à propos de M'Rick. Il décida donc de quitter la restauration rapide en essayant de garder son calme. Tout en sortant, il se sentit mal à l'aise de ne pas avoir confronté ces hors-la-loi, un élément de son futur métier d'avocat.

Il était 23h10 lorsque je suis parti avec quelques armes vers le McDonald. J’avais décidé de me rendre à cet endroit puisque certains de mes informateurs m’avaient averti qu’une réunion très spéciale allait s’y dérouler. Certains m’avaient même dit que ce serait le meilleur endroit pour négocier des échanges d’armes avec des personnes dans le besoin : des vendeurs de drogues. Ces individus ont toujours besoin de mes armes pour faire leur travail. Puis, après avoir stationné ma fabuleuse «McLaren P1», j’ai tout de suite enfilé mon masque pour dissimuler mon identité et j’ai par la suite commencé à analyser les personnes se trouvant à l’intérieur du restaurant. Il y avait trois personnes assises à la même table dont une personne qui avait beaucoup plus d’admirateurs que moi. Cette personne était un marchand de produits, rendant dépendant, très respecté dans la région et il était aussi ma nouvelle proie pour vendre ma marchandise. J’ai donc saisi mon pistolet, rechargé l’arme et j’y ai appliqué un silencieux. Bien sûr, il faut toujours être prudent dans le métier ou le plus menaçant dans tous ceux présents dans les rencontres. J’ai ensuite entré dans l’édifice et rejoint la conversation.

Je suis arrivé au McDonald aux alentours de 23:15. J’étais si heureux d’entrer dans le bâtiment car le vent était l’un des plus froid de l’automne. J’avais un rendez-vous avec un dénommé M’Rick. Cette rencontre était pour revenir dans mes vieilles occupations, la vente de drogue. Ce vendeur était le plus gros dans tout le Grand Montréal. Mon but était d’obtenir la drogue de M’Rick et me sauver avec l’argent. J’ai entendu parler de cet homme en prison alors qu’un de ses employés m’a demandé si à ma sortie, je retournerais dans le monde de la drogue. Je l’ai vu avec l’un de ses hommes son garde du corps. Je savais le nom de cet homme, Dimitri. Il faisait partie de la mafia russe. Il avait sûrement des comptes à régler car c’était un assassin! Je m’assis devant M’Rick et j’attendais qu’il commence à parler. À ma surprise, personne ne parlait. Même pas le garde du corps russe. Je commençais à penser que j’avais fait quelque chose de mal. Ce que je veux dire par mal, c’est envers lui. Mais il commença finalement à parler. Je l’écoutais très attentivement mais je savais que mon but était de partir avec la drogue et l’argent.

Je suis rentré dans les toilettes du McDonald avec mon supérieur M’Rick qui m’a dernièrement engagé après que je suis parti de la mafia il n’était vraiment pas content et on essayer de me tuer mais j’ai disparu et ils ne me retrouveront jamais, l’année passer un des plus grands vendeurs de drogue sur l’ile de Montréal m’a engagé sans savoir qui j’étais vraiment car de base j’étais venu à Montréal pour réglé des problèmes avec lui car il avait causé des problèmes à mon ancienne organisation. Lorsque je suis allé le rencontrer, amicalement, il m’a offert un travail car je lui avais dit que jetais tueur à gages mais et il m’a offert un nouveau travail en tant que garde du corp.  Pour moi c’était une opportunité pour quitter la mafia russe, j’ai donc accepté son offre. Voilà pourquoi je travaille pour lui. Nous sommes entrés dans le fastfood pour faire un échange avec un certain Filipe Franco sinon je ne savais rien d’autres car moins j’en savais mieux c’est mon travail étais simple protéger M’Rick. Nous nous dirigions vers les toilette lorsque la caissière nous à demander si l’on voulait commander et je lui ai gentiment dit non et que l’on n’allait pas tarder à quitter les lieux, elle avait l’air terrifié juste a l’idée de nous poser cette question.

Ça faisait déjà 10 minutes que j'attendais dans les salles de bain pour finalement pouvoir marchander avec les autres mais l’occasion ne se présentait pas parce que la population des salles de bain de McDo était trop dense. J’ai donc décidé de partir de cet endroit avec Voktchiov pour pouvoir profiter d’une plus grande intimité. L’endroit choisi fut le Quartier des Exclus parce il est proche de mon quartier natal : le Hood. J’ai ensuite invité Smith à me suivre pour poursuivre nos occupations en paix. On voulait répondre aux besoins d’un de mes contacts en narcotiques et armes.

En rentrant dans le restaurant, je sentie une main glisser sur mon épaule. Cette personne avait l’air anxieuse et me conseilla de ne pas rester dans les environs. J’avais un petit sourire sur le coin du visage lorsqu’il avait dit cela. Je l’ai donc salué pour ensuite me diriger vers la petite réunion. La caissière était très intriguée par mon masque et mon habillement. Celle-ci avait l’air très apeurée de voir toutes ces personnes reconnues par plusieurs pour avoir fait des actes criminels. Elle n’arrêta pas de me fixer pour un bon moment puis elle continua à nettoyer les tables. Je suis alors entré dans la salle de bain et grand fut mon étonnement de voir tous ces voyous dans une si petite pièce qui discutaient de ventes de marchandises illégales. Après avoir analysé chacune des personnes, je me suis dirigé vers M’Rick et je me suis présenté sous le nom de Jack Smith. Celui-ci me salua et me pria de le suivre hors de ce restaurant. Il m’avait dit qu’il voudrait que cette causerie se déroule dans un endroit bien connu du nom de «Hood».